Elle cotait plus de 60 euros au mois de mai, et on note du volume depuis qqs temps.
(Me fait assez penser a Kof ou Nxi en 2009)
Pas mal d'analystes SG, ou Nextsearch donnait du 79-80 euros comme fair value il y a peu encore.
C'est juste le leader européen du creneau pour rappel.
- Pas de dette, ou tres peu ( 18% des fonds propres , remarquable pour le secteur)
- 26,9€ et une capitalisation de 236 M€ , c'est a peine un tout petit 50% des fonds propres de la société aujourd'hui.
- La résidence de tourisme bénéficie encore de l'avantage fiscal CENSE-BOUVARD certes raboté mais valable jusqu'en 2016 et ici ce n'est donc pas du SCELLIER
- En période de récession le tourisme de proximité est le plus économique , l'activité tourisme devrait être bonne en outre, comme elle le fut plutôt cet hiver a la neige d'ailleurs
- l'age du pilote qui est hyper majoritaire et qui risque de vendre des filiales (center-parc , Adagio etc) sans parler du différentiel secteur avec Club med ou certaines foncières en reprise.
Fort étonnant tout de même pour cette société de grande qualité revenue `` incroyablement ``a son cours de 1999
c'est exact...moi je vise meme plus haut encore soit un retour vers les cours d'avant la chute des
marchés soit 55/60 euros.
sinon et bien oui le vieux Brémond il est pas immortel et un jour il va ceder ses parts ( ses heritiers ont suivi d'autres voies ) ou du moins ceder la gouvernance et la ca risque de faire boum car VAC figure parmis les boites les plus opéable de toute la cote...
... avis que je partage, et tu as raison sur cette jolie opéabilité notable.
En outre on a pas de survaleurs comptables notables, non plus et les dernières publications étaient plutôt meilleures que celle de l'an dernier en plus ...
Le bilan est sain, le foncier solide, la boite a toujours fait preuve de qualité avec un super gestion de gearing notamment.
Tres étrange que tout ceci a un cours des plus absurdes, même si le titre pâtit certes d'un manque de notoriété du marché ce qui est dommage d'ailleurs. Étrange aussi toutes ces séances a 7-15000 titres échangés depuis deux semaines sans que le cours ne bouge véritablement
Je m'étonne aussi de ces gérants a reco 70-80 euros il y a quelques temps (2011-2010) qui se font étrangement silencieux sur ce dossier désormais
un ex ci dessous: Aurel BGC qui est pas le plus mauvais de la place, fin juillet 2011 - obj: 70 euros
de brader a tout va vu sa situation déplorable, c'est peut-etre une excellente affaire pour VAC sur le fond ...
ceci dit ce n'est pas fait tout cela... On verra, nous sommes dans la supputation et il n'y a aucun détail transactionnel.
Sinon cosmos tu noteras néanmoins que si le prix ``promotionnel`` du moment est a 200 millions pour Belambra alors imagine celui `` réel`` de VAC , tres loin devant et qui fait dix fois plus de CA annuel et qui n'a pas de dettes...
en dehors des BC dont tu sembles bien informé ...
je pense qu'il y a, dans le circuit international, du cash disponible à profusion ... sans parler du cash "flottant" (non identifier) ... ce qui (peut) expliquer l'irrationalité des marchés ....
ton avis ?
bonne journée @+
Les fabricants de consoles s'arment face à une nouvelle concurrence
Les futures Wii U, Xbox 720 et PS4 devront trouver leur place sur un marché des consoles de salon au modèle économique particulièrement bousculé par la TV connectée et le « cloud gaming ». Elles devront notamment convaincre les éditeurs.
La prochaine génération de console de jeux de salon est en phase d'approche. Sur la toile, les rumeurs vont déjà bon train sur les caractéristiques des successeurs de la Wii de Nintendo, de la PS3 de Sony, et de la XBox 360 de Microsoft. Pour l'heure, seul Nintendo est sorti du bois, en annonçant la sortie de la « Wii U » pour 2012. Principales nouveautés : l'apport de la haute définition, d'un processeur plus puissant, et d'une tablette tactile qui permettra de commander la machine. De son côté, Microsoft travaille au lancement de la Xbox 720, dont un premier prototype pourrait être dévoilé dès 2012, tandis que Sony planche dans le plus grand secret sur sa PS4.
Le timing de ces sorties dépendra de nombreux facteurs. Et notamment de la capacité financière des constructeurs à investir les millions de dollars nécessaires à la fabrication de ces machines superpuissantes, capables d'afficher des graphismes hyper-réalistes.« Ceux qui ont rentabilisé le plus vite leur console actuelle devraient être les plus à même de sortir rapidement la génération suivante. On le voit pour Nintendo, qui a été le premier à avoir réalisé des profits sur la Wii », souligne Richard-Maxime Beaudoux, analyste chez Natixis. Côté Microsoft, la division Xbox n'est rentable que depuis 2007. Et chez Sony, la division PS3 ne gagne de l'argent que depuis l'exercice fiscal 2010-2011, clos en mars. Le groupe avait ainsi généré un petit bénéfice de 35 milliards de yens (344 millions d'euros)... contre des pertes lors des quatre premières années d'exploitation ! Difficile dans ces conditions d'espérer des sorties avant 2013, voire 2014 pour Microsoft et Sony. D'ici là, ceux-ci tentent de soutenir les ventes en allongeant la durée de vie de leur console, via des améliorations techniques (consoles plus fines ou à plus forte capacité de stockage), l'intégration de solutions de détection des mouvements (Kinect pour la Xbox, Playstation Move pour la PS3), ou encore l'enrichissement des contenus (accords avec les chaînes TV et les acteurs de la VOD pour la Xbox).
A elles trois, la Wii, la Xbox 360 et la PS3 se sont déjà vendues à plus de 212 millions d'unités depuis leur sortie. Soit un revenu, consoles et jeux compris, de plus de 130 milliards de dollars. Un gâteau multiplié par deux par rapport à la précédente génération (PS2, Xbox, Game Cube). L'industrie parviendra-t-elle à faire mieux lors du prochain cycle ? Rien n'est moins sûr, tant la concurrence s'active face aux consoles traditionnelles. L'arrivée des tablettes tactiles, mais aussi de la télévision connectée et de set-top-box plus puissantes chez les fournisseurs d'accès, risque de bousculer leur place de choix dans le salon. Mais c'est surtout du phénomène du « cloud gaming » que pourrait bientôt venir la principale concurrence.
En diffusant les jeux par Internet, cette solution technique permet de faire reposer la puissance de calcul non pas sur la console mais sur des serveurs hébergés dans de vastes data-centers. Ce qui permet de jouer à des jeux sophistiqués depuis un simple PC, une tablette ou tout autre écran, à condition d'avoir une connexion très haut débit. Onlive, Gaikai, Otoy, Playcast media... Différents acteurs ont lancé leur service, en constituant de gigantesques parcs de serveurs aux Etats-Unis. L'activité a déjà séduit plusieurs éditeurs (Ubisoft, Electronic Arts ou 2D sont déjà partenaires d'Onlive aux Etats-Unis), tant l'hébergement de leurs jeux sur le « cloud » multiplie les avantages. « Ce type de service apporterait aux éditeurs des ventes récurrentes et plus profitables car cela leur éviterait de payer les royalties qu'ils reversent actuellement aux constructeurs. De plus, le cloud gaming leur permettrait d'étendre la base de joueurs puisque l'on pourra y jouer depuis n'importe quel terminal. Enfin, il mettrait fin au marché de l'occasion et du piratage », insiste Richard-Maxime Beaudoux. Dans une note publiée au printemps 2010, Natixis affirmait ainsi que la marge d'exploitation d'Ubisoft pourrait passer de 7 % dans le modèle des consoles de salon actuelles à 32 % avec des ventes 100 % « cloud ». Aux fabricants d'éviter un tel basculement, en développant des consoles dotées de nouveaux services et
contenus.
Projet de transfert du siège social : Communication du rapport de l’expert indépendant et fixation des termes de l’offre de rachat en cas de demande de rachat par les actionnaires souhaitant voter contre le projet de transfert du siège social au Grand Duché du Luxembourg
L’assemblée générale ordinaire et extraordinaire de Sword Group se réunira le 26 mars 2012 afin de se prononcer notamment sur un projet de transfert de son siège social au Grand Duché du Luxembourg.
Conformément aux termes du projet de traité de transfert du siège social, Sword Group a procédé, le 13 janvier 2012, à la nomination de la société Penthièvre Finance en qualité d’expert indépendant chargé d’évaluer l’action Sword Group SE, conformément à l’article L.433-4 II du code Monétaire et Financier qui prévoit l’application de la méthode multicritère.
Le rapport de la société Penthièvre Finance, disponible en intégralité sur le site Internet de Sword Group, fait apparaître une valorisation de l’action comprise entre 11,41 euros et 13,29 euros en faisant application de la méthode multicritère.
Sur la base de ce rapport, le conseil d’administration du 9 mars 2012 a décidé, à l’unanimité, d’arrêter à la somme de 11,70 euros le prix de rachat qui sera offert aux actionnaires ayant voté contre le projet de transfert du siège social et demandant le rachat de leurs actions.
Ce prix de rachat a notamment été déterminé en intégrant, pour les exercices 2013 et 2014, un taux de croissance anticipé de 5% en moyenne (lequel est supérieur au taux de croissance anticipé dans le même secteur d’activité) et une anticipation de tassement des marges, qui sont actuellement significativement supérieures à celles des autres acteurs du secteur, ceci ne remettant pas en cause la stratégie d’augmentation des profits bruts du Groupe.
Le conseil d’administration estime que le prix de 11,70 euros est cohérent au regard :
-de la fourchette de valorisation arrêtée par l’expert indépendant,
-du service de liquidité que la Société propose à un prix garanti dans le cadre de l’obligation légale de rachat liée au transfert du siège social de rachat.
Par ailleurs la Société envisage de recéder dans le marché tout ou partie des titres acquis dans le cadre de ce rachat. Dans cette hypothèse, elle prendra le temps nécessaire pour reclasser les actions rachetées sous forme de bloc afin de ne pas influer sur l’évolution du cours.
Le conseil d’administration souhaite préciser que, compte tenu de la durée de la procédure de rachat d’actions, si, pendant la période d’opposition d’un mois visée ci-dessous, le cours de bourse de la Société venait à subir :
•une baisse du cours moyen pondéré de l’action Sword, calculée sur une période glissante de 20 jours, excédant 15% du cours de l’action Sword au 8 mars 2012, confirmée par une baisse similaire de l’indice « Logiciels et services informatiques QS0011018239 FRSCS » (calculé sur une période glissante de 20 jours à compter du 8 mars 2012);
•une hausse du cours moyen pondéré de l’action Sword, calculée sur une période glissante de 20 jours, de plus de 15 % du cours de l’action Sword au 8 mars 2012, confirmée par une hausse similaire de l’indice « Logiciels et services informatiques QS0011018239 FRSCS » (calculé sur une période glissante de 20 jours à compter du 8 mars 2012);
alors le prix de 11,70 euros visé ci-dessus deviendra caduc et le conseil d’administration demandera une nouvelle évaluation de l’action Sword tenant compte des nouvelles conditions de marché.
Pour rappel, conformément aux dispositions des articles L 229-2 alinéa 3 et R 229-3 du code de commerce, les actionnaires de la Société qui auront voté, lors de l’assemblée générale extraordinaire convoquée pour le 26 mars 2012, contre le projet de Transfert, pourront former opposition au projet de transfert (les actionnaires s’étant abstenus ou ayant émis un vote positif lors de cette assemblée ne pourront pas bénéficier de la procédure d’opposition ci-dessous décrite).
En cas d’opposition, les actionnaires peuvent obtenir le rachat de leurs actions. L’opposition et la demande de rachat doivent, pour être recevables, être formées dans un délai d’un mois à compter de la dernière en date des publications prescrites par l’article R 229-5 du code de commerce et être adressées par lettre recommandée avec demande d’avis de réception.
La Société adressera alors à l’actionnaire demandeur une offre de rachat de ses titres par lettre recommandée avec demande d’avis de réception dans les 15 jours suivant la réception de la demande de rachat. L’offre de rachat comprendra :
-le prix offert par action, lequel sera déterminé conformément aux dispositions de l’article L 433-4 du Code Monétaire et Financier (méthode multicritères),
-le mode de paiement proposé,
-le délai pendant lequel l’offre est maintenue, qui ne sera pas inférieur à 20 jours,
-le lieu où elle peut être acceptée.